
Après la rébellion avortée du dirigeant du groupe Wagner et de ses hommes fin juin, Prigojine serait revenu en Russie après un court exil en Biélorussie.
Faire attention au menu
Depuis Helsinki, le président américain a suggéré à l’instigateur de la révolte de bien faire attention « au menu ».
Il a déclaré : « Dieu seul sait ce qu'il va faire. Je ne suis même pas sûr où il est et quels contacts il a. Si j'étais lui, je ferais attention à ce que je mange. Je surveillerais le menu. »
Dieu seul sait ce qu'il va faire. Je ne suis même pas sûr où il est et quels contacts il a. Si j'étais lui, je ferais attention à ce que je mange. Je surveillerais le menu
Lors de cette même conférence de presse dans le pays scandinave, Biden a formellement déclaré que la Russie avait « déjà perdu la guerre » alors que la contre-offensive ukrainienne se poursuit. Biden a confié : « Il n'y a pas de possibilité pour lui de gagner la guerre en Ukraine. »
On se souvient que le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine avait affirmé le 24 juin 2023 être entré en Russie avec ses troupes dans le but de renverser le commandement militaire, se disant "prêt à mourir" avec ses 25.000 hommes pour "libérer le peuple.
Une tentative qui a fait long feu. 24 heures seulement après, c’était Evguéni Prigojine a mis fin à son offensive. Il aurait servi de médiateur et incité la Russie à ne pas tuer le chef de Wagner. "J'ai dit à Poutine: on peut le buter, ce n'est pas un problème. Soit à la première tentative, soit à la deuxième. Mais j'ai dit: ne le faites pas", avait assuré le président biélorusse. Toujours selon les dires du dirigeant, Prigojine a obtenu des "garanties de sécurité" pour son arrivée en Biélorussie.